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De fil en livres
30 octobre 2015

Ce que je peux te dire d’elles d’Anne Icart

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Editions Robert Laffont – lu en version numérique

Je suis un peu en retard pour vous parler de cette lecture puisqu’elle date du mois de septembre.

Ce livre retrace la vie de Blanche et des femmes qui l’ont entourée pendant près de 60 ans. Une saga familiale, une saga de « femmes » qui sont toujours là les unes pour les autres, prêtes à tout affronter, à partager joies et malheurs. L’amour des proches est plus fort que tout, le meilleur des remèdes.

La lecture est fluide, agréable. Toutefois ce livre m’a paru long, j’avais l’impression qu’il s’éternisait. Peut-être est-ce dû au manque « d’action » mais en même temps ça n’est pas le but de ce roman. Certains passages pourraient peut-être être condensés…

Cette impression de longueur a aussi été accentué par la fin qui elle est très très courte, succincte. Ca contraste vraiment avec le reste du livre et ce moment-là  aurait mérité d’être développé je trouve.

Un moment plaisant passé en compagnie de Blanche, Angèle, Justine et Bébé même si ça ne sera pas pour moi LE livre de l’année. En même temps, lu immédiatement après « Juste avant de bonheur » d’Agnès Ledig, c’était difficile de rivaliser et ça pouvait paraitre un peu « plat » à côté…

Résumé (Internet) 

Un matin, très tôt. Le téléphone sonne. Blanche n'aime pas ça : les coups de fil au petit matin n'annoncent jamais rien de bon. Cette fois, pourtant, c'est une bonne nouvelle : Violette a accouché dans la nuit d'un petit garçon. Blanche est bouleversée : elle ne savait même pas que sa fille était enceinte. Et puis un garçon, le premier au bout de cette lignée de filles, quelle histoire... Dans le train qui la mène de Toulouse vers Paris, le trac au cœur, Blanche relit les carnets de moleskine destinés à Violette où, remontant le temps, elle a essayé de se souvenir de tout, tout ce qu'elle peut lui dire d'elles. Mais Violette l'attend-elle encore au bout de ce chemin à la fois heureux et cabossé ? Portés par une écriture ultrasensible, où sous l'apparente douceur du cocon familial gronde la violence des sentiments, on est entraînés dans l'histoire de Blanche, celle de quatre générations de femmes, des années 1950 à nos jours. De la minuscule bicoque d'un petit village des Pyrénées aux ateliers de la maison Balaguère, haute couture, à Toulouse, Blanche recrée ce petit monde que les accidents de la vie, et certains choix, ont rendu presque exclusivement féminin. Il y a d'abord Anna, la grand-mère, qui a élevé ses trois petites-filles, Angèle, Justine et Babé, tôt privées de mère. Angèle, la mère de Blanche, la magnifique, brillante et si fragile Angèle, journaliste à La Dépêche du Midi ; Justine l'indépendante, la féministe, la couturière aux doigts de fée qui, partie de rien, va créer sa propre maison et devenir la coqueluche des élégantes Toulousaines ; la douce et vaillante Babé, pilier de cette famille bien peu conventionnelle dans laquelle grandit Blanche. Sans père (il est mort avant sa naissance) mais avec trois mères, avant de devenir, à son tour, la mère sans homme de Violette...

J’ai eu une petite préférence pour le personnage de Justine, dois-je vraiment vous expliquer pourquoi ??!!

 

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